Histoire
"La terre est vaste, immense. Je veux que tu parcours le monde mon félin. Je veux que tu impose tes idées."
Le chaton d'une couleur caramel, aux longues rayures fines ferma ses yeux, s'imaginant le long voyage qu'il devait accomplir pour sa mère. Il sentait déjà ses pattes douloureuse. Se retournant sur son dos, dévoilant un ventre couleur crème, il regarda sa mère. Les yeux mis clos, entre son frêle museau il arriva à dire un puits de sagesse :
"Je t'aime maman"
La femelle albinos aux yeux rougeâtre regarda son petit et lui asséna amoureusement de sa langue rappeuse une lèche réconfortante sur le fond de son chaton. Entrouvrant sa gueule, laissant échappée un volute de fumée, elle aimait son chaton. Le yeux triste mais convaincue elle miaula :
" Moi aussi mon doux chaton. Promets moi de faire tous ce que je t'ai dis."
Le chatons se pressa un peu plus sur sa mère, les yeux de nouveaux fermé. Profitant de cet instant inoubliable. Il bailla dévoilant deux rangées de minuscules crocs, malgré la fatigue il miaule :
" Je ne peut pas te promettre l'impossible. Mais dis moi. Pourquoi part-tu ?"
La femelle étonnée, se cabra d'un coup. Mais elle s'allongit un peu mieux.
" Mon pauvre chaton, tu es jeune. Voilà déjà quatre lunes que je lutte. Depuis toute petite j'ai une maladie grave. Impossible à guérir. Elle allait causer ma mort quand je serais vieille. Mais ta naissance à ravancer ma mort. Mais sache que je suis fière de t'avoir eut."
Le chaton poussa un ronronnement amusée. Sa mère pour lui était la plus belle mère et merveilleuse qu'il avait eut. C'était le plus heureux des chatons.
-------------------------------- Le lendemain ~
Le chatons éveillée depuis un bon moment, regarda sa mère. La faim lui terrassait le ventre. Mais la question qui trottait dans sa tête depuis un moment criait elle aussi.
" Qui es mon père ? "
La femelle sursauta puis dévoila les crocs.
"Quoi tu veux en savoir plus sur ton père ? Et bien sache que c'est un guerrier qui m'as abandonnée. Sale comme tous ceux du Clan du Ciel. Crois moi, il en fait une autre portée de gosse."
Le chaton se recula apeurée. Mais sa mère se radoucis et le rapprocha d'elle. Elle ronronna et fit rendormir son chaton. Quelques heures plus tard, le chaton se réveilla, affolé. Il fut étonnée de se retrouvée sur un corps froid.
"Maman !! " cria t'il.
Plusieurs personne entendit le cri et viennent. Le chatons voyais tout ça au ralentit, comme si la fin était proche. Le guérisseur emporta le corps.
"Rendez là moi ! S'il vous plaît, non ! "
Sans le vouloir, les larmes coulait de ses frêles joues. Et jamais plus il ne revis sa mère.
--------------------------- Trois lunes plus tard~
Le félin découpa la mousse pour en faire des boules.
" Toujours de corvée le pleurnichard !"
Le matou laissa échapper un grognement rauque. Il n'aimais pas sa vie, depuis ses quatre lunes à la mort de sa mère on l'avais appelée "Pleurnichard"
Il regarda la femelle blanche. D'une blancheur comme sa mère. Il l'a regarda aussi méchamment qu'il le pouvait.
"Et toi, toujours aussi bête la boudeuse ? "
La boudeuse, tout le monde l'appelait la boudeuse car elle boudait, tout le temps. Il l'a regarda l'oeil fou de vengeance. Mais elle avait raison, il était toujours de corvée. Il lui dévoila des crocs de la taille normal, comme celle d'un apprenti. Il claqua sa queue au sol dans un bruit sourd et se retourna pour chercher d'autre mousse. C'était dur, puisque le territoire de l'Ombre était humide. Et allez trouver de la mousse fraîche, hein. Le matou arriva enfin à trouver un arbre qui était peu humide et dont la mousse paraissait parfaite. Il commença à enlever la mousse lorsque quil sentit des griffes lui lacéré les épaules et le dos. Il se roule sur lui même, son pelage à présent de boue et de poussière. Il reconnut son mentor.
"Bon réflexe, continue ! "
Il attaqua piteusement son mentor. Il se prit les chocs un à un.
"Mais bordel, que fais tu ? On dirais que tu n'aime pas ta vie. "
Oui c'est ça le problème, il n'aimait pas sa vie, il n'aimait rien. Il ne voulait plus aimer.
"Rien, laisse tomber "
Il fis volte-face mais son mentor le rattrapa.
"Dis moi "
L'apprenti accélère le pas et dans un grondement rauque il dis :
"Je déteste la vie, je déteste les autres, je te déteste. "
Son insolence le tuera. Mais il s'en vas le visage fière davoir tout dis. Il se sentait léger.
Il devint plus tard apprenti guérisseur
---------------
Voilà il était nommé guérisseur. Bal des Hérons. L'horreur lui même. La sincérité de son nom n'était que le fait de la mort proche. Son nom signifiant le bal des Hérons avant la proie dans leur serres. La belle danse des Hérons n'est qu'un mythe et une légende. Il n'y a rien de beau dans la mort.