Ce matin, je voulu allez chasser. Malgré la maladie qui m'a touchée il y a peu, je suis encore forte, malgré que je n'ai plus que cinq vies... Je décida de partir seule, vers les terriers, a la frontière. Le coin y était très giboyeux. Si je pouvais ramener quelques lapins, je serai contente. Toute fois, je devais faire attention, il y avait des blaireaux la ou j'allais. Mais, quelque chose me disait que mon heure n'était pas encore venue. Dans la lande, il y avait des ravins, a cause d'un mystérieux tremblement de la forêt. Beaucoup de chats sont morts. Surtout dans mon Clan... Zigzagant entre les trous, et sautant parfois au dessus des fissures, je fini par atteindre mon but. Je chassa toute la matinée, a midi, je ramena mes proie au camp. Il ne me restait qu'un voyage à accomplir, j'étais épuisée, mais je ne pouvais pas laisser des blaireaux ou de renards manger mes proies, donc, j'y retourna. Je me pencha sur mes proies quand je senti des griffe me lacérer le dos. Je vis alors trois blaireaux, une femelle avec deux de ses petits -des mâles qui étaient presque adultes- en toute évidence, j'étais rentrée sur leur territoire. Le problème, c'est que j'étais épuisée, une chatte épuisée contre trois blaireaux colossaux... Je ne faisais pas le poids. Heureusement, je réussi à aveugler un des deux mâles, le sang coulait à gros bouillons de ses yeux. La femelle, ivre de colère se jeta sur moi, nous roulions sur le sol jusqu'à ce que je sente un autre poids sur moi, l'autre blaireau avait rejoint sa mère. Je ne vis pas la suite, je perdais une vie, puis encore une et encore une, normal, la femelle m'avait égorgée. Quand je revint à moi, je ne réussi même pas à hurler, en voyant la femelle planter ses crocs dans mon flanc. Je retourna au Clan des Étoiles, une fois, pour perdre ma huitième vies. J'entamais ma neuvième et ultime vie... Je me réveilla, les blaireaux étaient partis, a l'exception de celui que j'avais aveuglé. Il gisait sur le flanc, il était mort. Je senti un chat du Clan du Tonnerre approcher. J'essaya d'attirer l'attention vers moi. Quand il pénétra dans la clairière, il hurla, frappé d'horreur en me voyant, totalement désarticulée. Je savais, que c'en était fini de moi. Je lui fis signe de s'approcher.
«T...Toi...Va...Va...pr...prévenir...m..mmon...Cl...clan...q...que...je...je...part avec nos ancêtres...» sur ses mots. Mon âme s'envola, vers d'autres cieux....